Ouest-France
Alain et Marie-Aline Pouteau, conteurs, livrent leurs secrets aux collégiens Châteaubourg
Conteur professionnel depuis 25 ans, Alain Pouteau intervient régulièrement dans les établissements scolaires, les bibliothèques et les Salons du livre. Il n'a pas son pareil pour captiver l'attention de son auditoire, quel que soit son âge. Il arrive parfois que sa fille, conteuse professionnelle elle aussi, installée à Paris depuis plusieurs années, l’accompagne en Bretagne.
Pour la seconde année consécutive, le collège Pierre-Olivier Malherbe les a invités pour raconter leurs histoires.
« Nous avons monté un projet avec les six classes de 6e. Les élèves ont écrit des contes et des poèmes qu'ils ont envoyés aux conteurs. Ces derniers en ont sélectionné quelques-uns, destinés à être lu en public le jour venu », a expliqué Myriam Priour-Grison, la professeur (de lettres) principale. Deux rencontres étaient prévues au Centre des arts entre les conteurs et leur jeune auditoire.
Accompagné de sa fille Marie-Aline à l’accordéon, Alain Pouteau s'est d'abord lancé dans un conte traditionnel, Le bonhomme misère, puis a livré une histoire écrite à quatre mains sur le monde des marins à Saint-Malo.
Vint le moment tant attendu pour les élèves, celui de la lecture à haute voix de leurs textes par le père et sa fille. « Quand on écoutait les histoires, on avait l'impression d'être dedans. On s'imaginait le décor et les personnages. On avait l'impression que c'était réel » ont déclaré, enthousiastes, les élèves.
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Une belle découverte littéraire à la médiathèque - Merdrignac
La médiathèque a reçu Alain Pouteau, conteur ; pour une soirée de lecture à haute voix proposée par le conseil général dans le cadre du prix Louis-Guilloux. Le livre retenu par le jury est Là, avait dit Bahi, de Sylvain Prud'homme. Un récit qui emmène l'auteur sur les traces de son grand-père, Pied-Noir en Algérie. « Bahi est un personnage haut en couleur, qui avant l'indépendance travaillait pour le grand-père de l'auteur dans une grande ferme et entretenait à l'époque une relation d'amitié très forte avec celui-ci. »
Alain Pouteau a présenté le texte à un public attentif et conquis par son talent de conteur, ainsi que par la beauté du texte. Il a su donner l'envie aux lecteurs présents à la soirée de découvrir ce jeune auteur prometteur. Il a entrecoupé sa lecture du texte littéraire, d'informations sur l'auteur, sur l'origine de cette histoire, la volonté de refaire le chemin parcouru avec cet homme « Bahi », 50 ans auparavant. Cet ouvrage est disponible à la médiathèque, il a été offert par le conseil général, ainsi que toute une sélection littéraire dans le cadre de la participation de la médiathèque au prix des lecteurs pour le prix Louis-Guilloux.
Alain Pouteau fait entendre la poésie aux collégiens - Guingamp
« Faire aimer la poésie. » Tel était le but d'Alain Pouteau, conteur, en intervenant mardi auprès des élèves de 5 e du collège Saint-Dominique. Il leur a lu et dit des poèmes de grands auteurs et ceux écrits par les enfants en cours de français, avec leurs professeurs Anne Masson, Christelle Falaix et Jean-Yves Séradin. Ensuite, place à une série de questions écrites. Chaque réponse reliant la poésie et l'enfance : « Le poète est toujours un enfant, il s'émeut des petites choses », a souligné Alain Pouteau. À la sortie, les commentaires abondent comme pour Lucas à qui ça « donne envie d'écrire des poèmes » ou Basil qui a aimé « quand il a raconté son voyage en Afrique ». Des propos repris par Louis, Martin, Fiona et tous les autres qui sont unanimes : « C'était fantastique et trop court. »
Oui, j'ai un spectacle de deux heures pendant lequel je fais entendre les grandes pages du maître.
Attention, sur cette première page du Courrier de L'Ouest, le sorcier est à droite ! Pas de confusion !
La lecture à voix haute enseignée aux élèves. Le sorcier est au fond à gauche.
Sur les salons, les auteurs apprécient toujours une lecture publique de leurs textes !
Le premier Kamishibaï en 2004.
Avec mon farfadet.
Salon du livre de Plérin, après une séance de Kamishibaï-vidéo.